Detroit et autres dépendances

Avant de partir, tempête de vent et ses subordonnés

dans ces boulevard oubliés de l’Amérique on peut discerner le vrai mal qui hante la cité et peut-être toute la société américaine. La profonde séparation entre les êtres par la richesse. De longs boulevards oubliés.

 

 

 

Retour aux pauvres bâtiments noircis et à leur lente mort. Comme ce drame que les pompiers n’ont pu éteindre de leurs lances à incendie, un calme samedi de travail, à l’après-midi. Ça causera 146 morts… mais ça c’est une autre histoire à paraitre plus tard.

 

 

 

Ce qui m’amène à me poser la question, qu’est ce qu’il y a sous mes pieds. Qu’ont-ils doucement enterrés là, dans les gravas…